Gouvernance actuelle


Le Consortium des fondateurs forme le Comité de pilotage du projet. Il est actuellement composé de :
  • l'association Crisalim, représentée par Damien Roussat
  • l'entreprise MauRésiAterre, représentée par Maud Vincienne
  • l'entreprise AAdreg, représentée par Carole Sadaka
  • l'association RESOLIS, représentée par Brigitte Picandet.

Le Comité de pilotage se réunit environ une fois par trimestre pour superviser l'avancement, valider les livrables, prendre les décisions stucturantes et fixer les orientations.

Crisalim et MauRésiAterre sont mandatés par le Consortium pour assurer la mise en oeuvre du projet.
Crisalim est mandatée pour assurer le portage administratif et financier du projet auprès de nos financeurs et prestataires.

Nous sommes très attachés au principe de construire un Commun et donc de permettre à un maximum de partenaires (contributeurs du projet) de faire entendre leurs points de vue.

C'est pourquoi nous convions régulièrement (environ une fois par trimestre) le Comité des Partenaires à participer à la gouvernance du projet : Lors des réunions d'étapes ou sur des ateliers que nous mettons en place, nous sommes à l'écoute de leurs avis, visions, besoins et envies, dans un esprit de co-construction pour un bénéfice collectif.

Pour l'intégration de nouvelles plateformes-sources, nous mettons en place une Réunion d'accueil pour les nouveaux partenaires potentiels, où nous présentons tout ce qu'ils ont à connaître du projet et son fonctionnement et où ils peuvent poser toutes leurs questions.

Tous les partenaires du projet

Vers une nouvelle structure juridique


Le projet ayant confirmé son intérêt auprès de nos partenaires et financeurs, nous préparons une nouvelle étape dans l'organisation de sa gouvernance : nous travaillons à la mise en place d'une structure juridique dédiée pour porter ce projet.

L'enjeu principal est de définir le projet à moyen et long terme qui sera porté par la strucure, dans toutes ses dimensions (notamment économiques pour assurer sa pérennité) avec les partenaires intéressés. La forme juridique n'est pas encore fixée. Cela sera probablement une association. Pourquoi pas une SCIC (Société coopérative d'intérêt collectif) à plus long terme ?

Le principal est que cette nouvelle entité puisse donner corps à un collectif élargi pour développer tout le potentiel de ce Commun et pour servir ses finalités d'alimentation durable.

Dans la continuité de nos travaux, cette structure devrait être en charge :
  • de garantir la continuité et la qualité du service de l'outil,
  • de garantir l'intérêt général du commun pour des finalités d'alimentation durable,
  • d'animer l'écosystème des parties prenantes,
  • de piloter et orchestrer le projet global et le développement de l'outil.

Un Comité de préfiguration de la future structure juridique est mis en place. Retrouvez les organisations impliquées dans ce comité dans la rubrique Ecosystème.